Dans sa vingtième chronique chez Pivot, Alexandre Popovic, porte-parole de la CRAP, revient sur le Projet Serment, l’enquête très longue et aussi très coûteuse du Bureau des enquêtes indépendantes (BEI) sur l’épidémie de fuites policières à l’Unité permanente anticorruption (UPAC) ainsi que sur la conduite du Projet A, soit l’enquête de l’UPAC sur les fuites de l’UPAC. Loin d’être un phénomène isolé, les fuites policières sont en fait un pratique bien établie au sein des milieux policiers.

Dans sa dix-neuvième chronique chez Pivot, Alexandre Popovic, porte-parole de la CRAP, revient sur l’arrestation de quatre hommes, tous liés à l’armée canadienne, qui ont été inculpés d’infractions relatives au « terrorisme » suite à une opération d’infiltration menée par la Gendarmerie royale du Canada (GRC). L’affaire soulève des enjeux de surveillance numérique à l’heure où la GRC entends déployer davantage de flics infiltrés en ligne nom de la lutte contre « l’extrémisme violent à caractère idéologique ».

Dans sa dix-huitième chronique chez Pivot, Alexandre Popovic, porte-parole de la CRAP, partage sa déception à l’égard du nouveau Commissaire à la déontologie policière, Michel Desgroseilliers, lequel a été sévèrement critiqué dans une décision en révision du Tribunal administratif de déontologie policière pour son ignorance en ce qui concerne le droit qu'il doit lui-même appliquer. À cela s’ajoute d’autres dossiers révélant un travail bâclé de la part du Commissaire à la déontologie policière.

Dans sa dix-septième chronique chez Pivot, Alexandre Popovic, porte-parole de la CRAP, raconte le traitement à la fois étonnant et décevant de sa plainte contre le Service de police de la Ville de Québec (SPVQ) par la Section de surveillance de la Commission d’accès à l’information. Au final, force est malheureusement de constater que la police a la coudées bien franches en matière de vidéosurveillance de lieux publics.

Dans sa seizième chronique chez Pivot, Alexandre Popovic, porte-parole de la CRAP, s’en prend au projet de loi C-2 du gouvernement fédéral de Mark Carney. Non seulement cette proposition législative comporte-t-elle d’important reculs pour les personnes immigrantes, mais elle menace en plus d’obliger davantage les entreprises électroniques à servir les intérêts de la police et du Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS), lequel est essentiellement laissé à lui-même comme le confirme un récent rapport de l’Office de surveillance des activités en matière de sécurité nationale et de renseignement (OSSNR).